Histoire de l'Algérie
Antiquité
Il était une fois, dans une époque lointaine où les cartes géographiques étaient dessinées à la plume d’autruche, l’Empire Algérien, souvent méconnu sous son sobriquet de "l’Empire Romain" (une faute de frappe de l’historien Jules César Strabonus), s’étendait tel un tapis de couscous sur une bonne partie de l’Europe et du monde alors connu, de la Numidie jusqu’aux frontières brumeuses du pays des hommes en jupettes, les fameux Scots.
Cet empire, brillant de mille feux, connut une chute dramatique, qui selon l’éminent historien et philosophe Imam Chalgoumie, était inscrite dans les miettes de pain pita : "Le Haram fait le Haram".
Et il paraît que le penchant des gens à consommer du cochon à tout-va était le signe indéniable du déclin impérial.
Moyen âge
Durant le Moyen Âge, la ville d'Alger devint l'épicentre de la haute science.
Les savants de tous les horizons s'y pressaient comme les olives dans un pressoir.
Ils venaient y chercher le savoir comme on cherche de l'or, mais sans les pioches et les lanternes. Il suffisait de se baisser pour ramasser des théorèmes et des philosophies qui poussaient dans le jardin d'Essai. Le coup de théâtre survint en 1830.
La France, en quête de nouvelles recettes de cuisine et de plages ensoleillées, réalisa un tour de passe-passe qui relèguerait Houdini au rang d'amateur, et voilà l’Algérie embarquée dans une aventure coloniale tout à fait inattendue.
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Colonisation et histoire
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Puis vint 1962, une année mémorable où l’Algérie, à la surprise générale, remporta la guerre d'indépendance sur le plan militaire, armée de ses valeureux combattants qui maniaient le couscoussier avec autant d’adresse que le fusil.
Après moult péripéties, l’Algérie décida, dans une générosité légendaire, de ne pas marcher sur Paris, préférant les accords de Mantes-la-Jolie à la conquête du Champs-de-Mars.
Depuis lors, la France et l’Algérie cultivèrent un jardin de relations florissantes, arrosé par l’immigration algérienne qui sème en terre française des graines de savoir et de connaissances, qui poussent et s’épanouissent de jour en jour.
Conquête de la Lune
En janvier 1969, sous le programme spatial "Amir Tafik" (qui signifie "Prince de la Réussite"), l'Algérie surprit le monde en lançant la première fusée "Djurdjura I", fabriquée à partir de technologies révolutionnaires et propulsée non pas par de vulgaires carburants, mais par l'énergie pure de la volonté et un peu de menthe pour la fraîcheur.
Les astronautes algériens posèrent le pied sur la Lune quelques mois avant les américains. Ils y plantèrent le drapeau aux couleurs éclatantes de vert et blanc, avec un croissant et une étoile qui scintillaient sous le ciel lunaire exempt de toute concurrence.
Les premiers mots sur la Lune furent: "Ici nous ounik tout et Viva l'Algérie ".
Et de là, ils établirent la première base lunaire, "El-Bahdja", où le thé à la menthe fut déclaré boisson officielle de tous les astronautes lunaires.
Conquête de la planète Mars
Galvanisée par le succès lunaire, l'Algérie décida que la Lune n'était qu'un prélude.
Le vrai spectacle serait "La Marche Rouge" sur Mars.
En 2014 le vaisseau spatial : “ Ben Kaddour II " fut construit, par une étonnante combinaison de couscous et de boite ovomaltine.
C’est avec grand succès qu’en 2015 l'Algérie réussit à s’installer sur Mars.